Dossier de renseignement

Nom :	Di Constantini
Prénom(s) :	Laura
Date de naissance :	27/12/1982
Sexe :	Féminin
Age :	31
Nationalité :	Italie
Domicile :	Seattle (Etats-Unis)
Appartenance :	Humain
Don/Rune :
Allégeance :	Inconnue
Expérience :	(10/300)

Apparence Physique :	Tout commence par l\'éclat captivant et acéré de deux icebergs aux reflets d\'azur, nichés au coeur d\'amandes dominant un visage aux traits aigus et durs, qui lui donne un air sévère qui colle en réalité parfaitement au tempérament de l’italienne. Un nez haut à l\'arête fine surplombe des lèvres minces et rosées, qui ne révèlent que rarement un sourire qui se veut faux et charmeur. De hautes pommettes rehaussent et soutiennent son regard glacial et perçant qu\'encadrent de longues mèches brunes retombant de chaque côté de son visage avant de plonger sur un cou à la ligne galbée qui se pose en trophée dominant une silhouette athlétique. Plutôt grande (1m74), c\'est une jeune femme qui ne passe pas inaperçue et qui ne manque pas de susciter un intérêt certain auprès des représentants du \"sexe fort\". Laura pratique des activités sportives presque quotidiennement, du simple jogging à quelques séances à enchaîner les directs dans des sacs de frappe en passant par le yoga, elle met tout en oeuvre pour se donner l’image qu’elle a d’elle même : se rapprocher de la perfection, tout autant physique qu’intellectuelle ; et la première lui est plus difficile à atteindre que la seconde, sans aucune tergiversation possible. Ainsi, la jeune femme affirme son caractère au-travers de sa silhouette : svelte, athlétique ; et une démarche très assurée, offrant l’image d’une femme de poigne, débordante d’énergie et de confiance en elle. D’un point de vue vestimentaire, en dehors de ses activités sportives où elle arbore des tenues de circonstances, Laura est toujours vêtue de manière très strictes. Tailleurs et veston, toujours signés de grands couturiers, chaussures à talon ; pour résumer, la Florentine se drape dans son austérité et sa sévérité propre à sa manière d’être et aussi son métier.
Caractère :	Si Laura est une jeune femme qui se veut séduisante et qui aime être regardée ; il en va tout autrement dès lors qu’il s’agisse de l’aborder. Froide, hautaine et arrogante, rares sont les personnes qu’elle estime lui arriver à la cheville - c’est un véritable compliment à ses yeux - et pour qui elle n’éprouve qu’un simple dédain à défaut d’un profond mépris. Bien évidemment, ce comportement qui la caractérise comme une femme au coeur de glace n’est pas sans fondement et pour cause - démolissant l’archétype misogyne de la jolie fille un peu coconne - l’italienne est un véritable génie du monde moderne. Possédant un quotient intellectuel supérieur à cent quatre-vingts points, elle considère depuis son plus jeune âge l’ensemble de ses pairs comme des êtres totalement inférieurs à elle. En conséquence, elle n’a que peu de relations sociales - au mieux se résument-elles à ses relations professionnelles ; aucun ami et estime de toute façon n’en avoir aucunement besoin. Mégalomaniaque et dénuée de tout sens moral, elle est l’incarnation du complexe de supériorité, dans son paroxysme et son paradoxe les plus extrêmes. L’italienne déteste les gens normaux, enfermés dans leurs petites vies et exècre d’autant la superficialité de leurs préoccupations quotidiennes. Mais là où la jeune femme frôle la schizophrénie, c’est qu’elle envie et jalouse dans le même temps la simplicité de leur existence misérable, leur capacité à lâcher prise, à se laisser gagner par l’insouciance, et à savoir juste profiter de l’instant présent ; chose qu’elle est incapable de réaliser tant son esprit se trouve continuellement en activité, fourmillant d’idées, de stratégies, d’analyses et de questions encore sans réponse. Ainsi la florentine souffre d’insomnies chroniques, ne parvenant qu’à trouver sporadiquement le sommeil quelques heures par nuit, ce qui n’arrange en rien son humeur massacrante. Véritable requin de la finance et au-delà de tous ses vices, d’aucun ne pourra remettre en question la détermination et le courage dont elle fait preuve - à la limite de l’acharnement - afin de parvenir à ses fins, quelles qu’elles soient et cela au quotidien. Laura ne recule jamais devant un obstacle, tant par principe que par volonté, sans se soucier de l’adversité, ou plus exactement en se souciant de savoir comment faire de l’adversité son atout majeur. Véritablement passionnée de tout - et donc de rien ; son principal ennemi reste l’ennui. Cet ennui morbide qui la saisit chaque qu’elle parvient au terme des projets ou défis qu’elle s’est lancée ; et c’est pour lutter contre cet ennui qui la taraude et la persécute depuis son enfance qu’elle a entrepris de multiples études supérieures dans des domaines très variés, sans jamais réussir à trouver l’énigme si particulière qui résisterait quotidiennement à l’inexorable soif de connaissances et de défis que réclame son esprit en perpétuelle activité. Du moins jusqu’à ce qu’elle se retrouve immergée et confrontée à l’existence des Alteris, et la promesse d’un défi impossible à relever. Dès lors, la quête des Alteris, la quête des réponses au pourquoi et au comment de leur existence tournent à la véritable obsession et ont finalement contribué à faire d’elle l’une des femmes d’affaires des plus dures et des plus redoutées de cette planète. Mais malgré le fait que tout semble lui réussir, Laura n\'est jamais véritablement ni heureuse, ni satisfaite. Elle ressent perpétuellement son corps comme une entrave à son esprit, et envie aussi très probablement ces capacités qu\'ont les Alteris de pouvoir s\'affranchir de règles parfaitement établies et vérifiées.
Tics/Manies :	Comme tout a chacun, il est possible d’identifier chez l’italienne quelques tics nerveux ou comportementaux, pour la plupart liés à son hyperactivité. Son esprit analytique et ordonné fait d’elle une véritable maniaque, non pas qu’elle ne supporte pas le moindre grain de poussière ou la trace d’un doigt sur une vitre ; mais les objets qui l’entourent se doivent de répondre à un ordre très strict. Les feuilles et les magazines empilés de façon parfaitement rectiligne, toujours bien parallèles aux arêtes du bureau, les étiquettes de dossiers toujours orientées dans le même sens, les marquages de couleur toujours classés de droite à gauche et du violet vers le rouge en respectant l’ordre de couleur du spectre de la lumière visible, et surtout que les symétries verticales et horizontales soient toujours respectées autant que le permet le mobilier. Autre habitude assez agaçante pour ses interlocuteurs, elle n’a de cesse de pratiquer le “pen spining” lorsqu’elle réfléchit, faisant continuellement tournoyer un stylo entre ses doigts à l’image d’une majorette avec son bâton. D’autre part, Laura est une véritable technophile, véritablement dépendante et constamment accrochée à ses outils de communication numérique, toujours à guetter la moindre actualité, le moindre fait se déroulant dans le monde, bien qu’elle-même n’utilise pas les réseaux sociaux à fin de communication. Elle ne possède pas de compte Facebook ou Twitter et ne s’exprime que très rarement dans la presse. A l’image de son aversion pour ses congénères, elle honnit la presse mais ne peut décrocher de l’actualité, qu’elle soit sportive, scientifique, politique ou tout simplement inutile. Dernier fait, assez étrange par ailleurs puisqu’elle-même ne parvient pas à se l’expliquer, elle ne supporte pas les bijoux, ou plus exactement le contact permanent de corps étrangers sur sa peau. Probablement estime-t-elle qu’il serait dégradant de porter des artifices soit disant embellissant.
Histoire :	Vous voulez savoir d’où je viens et comment j’en suis arrivée là ? Comment une modeste petite italienne sortie tout droit de sa campagne Toscane a-t-elle pu parvenir à monter une entreprise qui caracole dans le top ten de l’indice Dow Jones ? Est-ce que cela aurait un véritable intérêt sachant que les individus de mon potentiel se comptent sur les doigts d’une main à travers les âges ? Vos questions sont franchement ennuyeuses jeune homme, et je me désole de voir le peu d’ambition qui anime votre démarche. Un portrait de moi… Prenez-donc une photo et ne me faites pas perdre mon temps. Oui, j’ai accepté cette interview parce que j’ai beaucoup apprécié l’esprit combatif dont vous avez fait preuve pour l’obtenir, et j’aime la persévérance. Bon, je vais malgré tout vous faire un résumé rapide pour ensuite vous laisser tout le loisir d’approfondir certains détails. Peut être votre raisonnement et votre esprit trouveront-ils un cheminement intellectuel susceptible de ne pas écourter notre entrevue, alors ne gâchez pas votre chance. Résumé : Je suis née le 27 Décembre 1978 à Fiesole en Italie. Mon père était employé municipal à Florence, ma mère infirmière dans une clinique pour vieux gâteux décrépis. J’ai également un frère de sept ans mon aîné que j’ai rapidement rattrapé puis surpassé à l’école. Quant à savoir ce qu’ils sont devenus aujourd’hui, je m’en moque éperdument. Probablement croupissent-ils toujours dans la petite maison familiale en Toscane au milieu de leurs concitoyens aussi stupides qu’insignifiants en savourant l’inutilité futile de leur ennuyeux quotidien. Pour ce qui est de moi, je suis docteur en génétique cellulaire, virale et bactérienne depuis maintenant quatre ans, je possède trois masters en économie, médecine et informatique. Je parle couramment sept langues : Anglais, Italien, Français, Espagnol, Japonais, Russe et Mandarin ; et j’apprends actuellement l’Arabe et l’Allemand. Et je vais vous faire grâce des multiples domaines annexes que j’ai étudié par simple soif de connaissance. Pour ce qui est de ma vie professionnelle, Google répondrait aussi bien que moi, sinon mieux, à vos questions, mais vous n’êtes pas sans savoir que je suis actionnaire majoritaire et PDG de la DCH, holding mixte détenant de multiples parts de capital au sein de sociétés côtées en bourse, et PDG de DCL Pharmaceutics Industries. Il me faudrait une semaine pour énumérer l’ensemble des sociétés que la DCH détient et dirige, et j’en oublierais sûrement. On pourrait se pencher sur mon enfance, puisque vous tenez tant que ça à rédiger ma biographie - oui, j’exagère volontairement - mais les premières années de mon existence furent justes banales à souhait. Qu’est-ce que vous espériez d’une gamine de quatre ans ? Même moi ? Non, c’est lorsque je suis entrée à l’école que l’on remarqua mon “anomalie”. On m’a traitée de surdouée, aujourd’hui encore je trouve ce terme insultant, un euphémisme misérable et un qualificatif inapproprié. Mes facultés d’apprentissage, de mémorisation, de déductions et de raisonnement surpassaient largement celles de mes camarades, et bien vite celles de mes professeurs. A douze ans, j’obtenais mon diplôme de fin de cycle secondaire qui m’ouvrait la voie aux études supérieures,mais surtout aux bourses universitaires et pas seulement en Italie. Les médias italiens avaient vite fait de relayer mon cas à-travers le pays, puis à-travers le monde. Voyez-vous jeune homme, les petits génies dans mon genre sont courus par les plus grandes universités du monde, et derrière elles les entreprises les plus puissantes et influentes. Ce furent bien évidemment les universités américaines les plus généreuses en matière de bourse, et même de rémunération… Pas besoin de vous faire un dessin sur quel fut mon choix : le MIT m’a littéralement ouvert les bras, et surtout ouvert les cordons de sa bourse afin de me compter sur ses bancs. Très sincèrement, j’ai perçu en une année ce que vous ne gagnerez même pas en dix ans de votre job de scribouillard. Mais comme vous êtes plutôt belle gueule, je vous garantis un pourboire plutôt conséquent à la sortie de notre entretien, ne serait-ce que pour récompenser l’audace de votre démarche et votre détermination. Hmmm ? Oui, évidemment que ce fut très compliqué d’intégrer le MIT. Non… Pas pour le niveau élevé des cours dispensés, l’arithmétique appliquée, la géométrie non Euclidienne, la programmation ou encore l’ingénierie ne m’ont guère offert de résistance dans leur compréhension ; mais difficile de trouver sa place au milieu d’étudiants de sept à quinze ans vos aînés qui vous vomissent dessus de leur être supérieure en tous points. Alors certes ils m’en ont fait baver, mais je le leur ai bien rendu. La loi du Talion est une de celles que j’applique avec beaucoup de dévotion et d’enthousiasme. Oui, on m’a brutalisé, physiquement et moralement ; oui, on m’a dénigré, insulté, mis plus bas que terre ; mais vous l’aurez sans peine deviné : JE finis toujours par gagner. J’ai écrasé ces morveux à leur propre jeu, piratant le système de notation du MIT pour moisir leur dossier ; et c’est là que tout a réellement commencé pour moi. Mais il va falloir que tu poses ton stylo, ton calepin, et que tu me coupes le dictaphone qui est dans ta poche garçon. Allons… Joue pas au plus malin avec moi… Bien… C’est donc à seize ans que je me suis faite attraper. Mon cas intéressait beaucoup de grandes entreprises, tu t’en doutes ; hommes d’affaires, politiciens, universitaires et même des scientifiques. Mais aucun d’entre eux n’avait en réalité quelque chose à me proposer qui soit réellement à ma portée, aucun n’a trouvé grâce à mes yeux. Tous sauf un. Steve Jobs, inutile de te présenter le bonhomme. Un homme relativement simple malgré tout, implacable dans son métier, mais très simple, un des rares pour qui je possède encore de l’estime malgré sa disparition. Il m’a lancé un défi, simple et unique : le battre sur son propre terrain de jeu. J’ai tout de suite accepté, sans me douter de ce dans quoi je m’embarquais réellement. Même un génie comme moi ne pouvait imaginer ce que j’allais découvrir à son contact. Ambitieuse et géniale comme je l’étais, je m’estimais très largement capable de le battre. La programmation n’avait plus aucun secret pour moi, et en 96, tout ou presque restait à inventer dans ce domaine. Que demander de plus ? Et bien il m’a démoli, ridiculisé, enfoncé comme une merde. Je découvrais pour la première fois le véritable goût très amer de ce que le commun des gens appelle l’échec, ce qui était pour moi un concept totalement nouveau et nébuleux. Jamais je n’oublierais cette sensation horrible, cette frustration enrageante que celle de perdre ; et je l’ai rarement ressenti depuis d’ailleurs. Et qu’a fait cet enfoiré - paix à son âme - juste après ? Il m’a félicité. Non pas pour remuer le couteau dans la plaie, ce n’était absolument pas son genre, mais tout simplement parce que Steve Jobs n’était pas comme toi, ni moi. Il avait un véritable don : la technopathie. Cet homme avait la capacité de communier et communiquer mentalement avec une machine régie par un programme informatique ; comme beaucoup d’autres petits prodiges de l’informatique aujourd’hui. Ne me regarde pas avec ces yeux de veau neurasthénique… Je ne suis ni folle, ni délirante. C’est une réalité. Certaines personnes parmi nous possèdent des capacités hors du commun et défiant toutes les lois établies, leur offrant la possibilité de modifier et d\'interagir à leur guise avec leur environnement selon leurs affinités spécifiques. J’ignore encore comment l’expliquer, ni pourquoi des individus pareils existent. Steve croyait dur comme fer que j’étais une des leurs, les Alteris comme ils s’appellent. C’est pour cela qu’il m’avait félicité par ailleurs. Parce qu’au fond, je n’étais qu’une humaine, sans rien de plus que ma seule intelligence. Je ne connais pas grand chose des Alteris, sinon leur existence et quelques uns de leurs dons. Mais leur quête est devenue l’objet de toute ma vie. Non je ne plaisante pas. Je ne plaisante jamais petit con… Pourquoi crois-tu que j’ai consacré la suite de mes études à étudier la médecine et la génétique plus particulièrement, puis que je me suis lancée à la conquête des entreprises les plus influentes de ce monde ? Uniquement pour débusquer et comprendre ce que sont les Alteris. Le seul défi qui se révèle aujourd’hui être à ma mesure. Si je crains tes révélations ou des fuites dans les médias ? Il y a un chèque de vingt-cinq milles dollars qui t’attend de l’autre côté de cette porte gamin, mais peut être préfères-tu te frotter à moi ? Tu sais… Un accident est si vite arrivé de nos jours, et puis qui se soucierait de l’existence d’un petit stagiaire en première année de journalisme qui aura pu être pris à parti dans une guerre de gang liée au trafic de drogue, ou juste fauché par un chauffard ivre au détour de Jackson St ? Je crois que t’as compris l’idée gamin… En découvrant l’existence des Alteris, je me suis donc lancée corps et âmes dans la quête de ces individus, afin de les analyser et comprendre d’où leur vient ce pouvoir. J’ai étudié la génétique, et en parallèle, commencé à investir mes économies dans diverses petites sociétés du numérique, dont Google, et travaillé avec Steve à la conception du code source NeXTSTEP. J’ai participé à des levées de fonds de projets qui me semblaient très prometteurs, profitant aussi des attentats du 11 septembre pour capitaliser chez la Raytheon, dont les actions ont explosé suite à la guerre en Afghanistan, puis la guerre en Irak. Semaines après semaines, j’ai acheté puis revendu des actions, spéculé sur les bourses du monde entier en anticipant et prévoyant au mieux, en fonction des actualités, afin de placer au mieux mes économies et faire fructifier mes produits financiers, sans grande considération pour les dommages collatéraux que cela occasionnerait. Les forts imposent, les faibles subissent. Puis lorsque j’eux acquis une notoriété suffisamment importante au sein du monde financier, je me lançais enfin à mon compte. J’étais ambitieuse, richissime et je savais sur quel cheval miser : aucun banquier ne m’a résisté. Tous m’ont suivi. J’ai fondé DCL Pharmaceutics Industries en profitant de la tombée des différents brevets dans le domaine public pour inonder le marché Européen de médicaments génériques - la vieille Europe en est si friande, et avec l’absence de protectionnisme de leur marché - puis j’ai réinvesti les profits colossaux réalisés dans diverses sociétés dont les activités m’intéressaient au plus haut point ; dont la Raytheon, au travers d’une holding - la DCH donc - afin de diversifier mes activités avec un unique but sous-jacent : traquer les Alteris et les amener sous mon microscope. Bien évidemment, la quête des Alteris est une quête personnelle, un trésor que je ne veux partager avec personne d’autre car je suis la seule à mériter de le découvrir. Si la nature m’a doté de cette intelligence extraordinaire, ce n’est pas pour la gaspiller à tenter d’expliquer les secrets de l’univers ou de la vie ; mais bel et bien de découvrir pourquoi il existe des individus capables de s’affranchir de toutes ses lois. Alors j’oriente les différentes activités de la DCH vers des quêtes plus humaines et plus “nobles” dont je n’ai strictement rien à foutre. Thérapie génique, développement durable, ingénierie, exploration spatiale, sponsoring d’épreuves sportives, dons à des associations caritatives et des ONG… Tout ce qu’il faut pour que l’on me foute la paix. Notre entretien s’arrête ici, jeune homme. J’espère que tu ne me feras pas regretter de t’avoir accorder l’immense honneur de mes confidences. N’oublie pas… Lex Talionis.
Carnet de Bord :	A compléter régulièrement.

Laura di Constantini