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Apparence Physique :

Comment ce décrire ? Sacré formulaire de renseignement ! Bon voyons voir. Je suis un homme de 35 ans. Du haut de mes 1m85 et de mes 75 kilos je ne suis pas un mec impressionnant au niveau de ma carrure. Certes je m\'entretiens avec un footing tous les matins avant de prendre mon poste à l’hôpital, mais rien qui me fait appeler monsieur muscle. Bon quand même quand je suis torse nu on voit bien mes muscles il en faut bien un peu pour impressionner ses partenaires. Les cheveux hirsutes et bruns encadre un visage carré et une barbe naissante commence à prendre place sur mon visage. Les yeux foncés, qui expriment tous mes sentiments que je peux ressentir, le reflet de mon âme. Je me promène souvent avec des lunettes de soleil même l\'hiver. Avec j\'ai l\'impression d\'être moins nu.

Caractère :

J\'ai l’impression d\'être une pile électrique. Je m\'arrête jamais. Il y a tant à faire... J\'aime être au cœur de l\'action, de par mon métier je sais maîtriser mon sang-froid et prendre dans l\'urgence des décisions. Je suis médecin à l’hôpital, mais la plupart du temps je viens en aide aux hôpitaux des régions les plus défavorisés du tiers monde. Je possède une grande maison à Londres, mais j\'y suis que rarement. Mon avocat gère les affaires de ma famille, cela ne m’intéresse pas tous cette histoire et cet héritage... Quand il faut je signe les papiers, je ne regarde pas. J’appose ma signature. Je lui fais entièrement confiance, il connaît bien les affaires de ma famille. Je dirais que je suis un passionné, j\'aime sauver des vies et je m\'implique beaucoup même trop avec mes patients. Ce n\'est pas l\'argent qui me motive, vous l\'aurez compris (enfin je l’espère). Peu de personnes savent qui je suis vraiment. L\'héritier orphelin d\'une grande famille londonienne qui s\'est installé dans le pays vers 1300 et des brouettes. Oui comme je vous l\'ai dit cette partie là ne m’intéresse pas. Je suis terre à terre, je crois en ce que je vois, mais cela ne m’empêche pas de m’intéresser au folklore des régions où je passe. J\'aime écouter les histoires des anciens du village ou je suis installé, apprendre leurs coutumes aussi, leurs croyances.

Tics/Manies :

Quand je ressens la tension dans mon corps et la fatigue, je fais toujours ce geste-là vous savez ? Celui où l\'on passe sa main dans le cou et sur le visage. Comme pour chasser tout ça. Les rares fois où je suis chez moi, j\'aime mettre un fond de musique et boire un verre de scotch. Je n\'aime pas forcément les animaux, mais je ne les déteste pas non plus. Du moment qu\'ils se tiennent loin de moi ça me va.

Histoire :

Je tiens à préciser que cela est dur pour moi de raconter cette histoire, mon histoire. Ça ouvre des plaies dans mon cœur, qui avec le temps ont réussi à cicatriser, plus ou moins. Je n\'ai pas connu mes parents, Je n\'ai pas eu beaucoup de temps avec eux, juste mes trois premières années de vie. Le comble c\'est que je ne m\'en souviens pas. On peut me raconter tout ce qu\'on veux sur cette période, ou sur mes parents même, je ne m\'en souviens pas, je ne les connaît pas. De ce qu\'ont m\'as dit, ils auraient eut un accident de voiture en rentrant de soirée. Pour l\'occasion ils m\'avaient fait garder par ma tante et mon oncle. Enfin on ne va pas passer une éternité sur cet épisode tragique. Je ne veux pas qu\'on se lamente sur mon sort. J\'ai très bien vécu jusque là. J\'ai été heureux, en bonne santé. Vous devez donc bien vous doutez que ce sont mon oncle et ma tante qui mon recueilli et élever. Enfin élevé est un bien grand mot, car ils m\'ont mis dans un pensionnat pour mes études et pour mon bien. C\'était quand même une super enfance, avec des amis des très bons professeurs. J\'ai appris la vie. La réussite comme l\'échec, le bonheur comme le malheur de quelques jours. Puis il y a eu mes dix huit ans. Le changement pour tous hommes et femmes de cette planète. Les conquêtes amoureuses, les déceptions, les joies et l’insouciance de la jeunesse. C\'est aussi à cet âge que mon héritage fût débloqué. J\'en avais les pleins pouvoirs. Un empire pour moi seul. Mais que pouvais-je en faire ? Je ne connaissais strictement rien aux affaires de mes parents. Je savais juste que c’était une très grande richesse qui venait d\'une autre époque. La famille possédait des objets datant des templiers. Il y avait une légende, mais je ne m\'y intéressais pas à l\'époque. Tout ce donc je savais et que je voulais, c\'était devenir un grand médecin. J\'étais en ce temps-là, bénévole dans un dispensaire de Londres. C\'était une révélation, j\'avais trouvé ma voie. Comme cadeaux d\'anniversaire j\'eus le droit de signer des papiers, pour l\'héritage évidemment. L\'avocat se présenta à moi avec un gros attaché-case. J\'étais amené à le voir régulièrement. Il avait connu mes parents et travaillait depuis vingt années avec ma famille. Il en connaissait tous les secrets, dont la plupart , il ne me les dévoila pas et c\'était bien ainsi. Je lui avais prestement dit que j\'étais heureux et que je ne voulais pas m\'implique dans les affaires de trésors, d\'argent de musée... L\'avocat avait bien compris, donc tant que je pouvais faire mes études et exercer le métier que je voulais, il avait champ libre pour gérer le patrimoine de ma famille. Grâce à cette entente, j\'ai pu intégrer la prestigieuse université d\'Oxford et y étudier la médecine. Pendant mon internat il s\'est passé une chose qui m\'a bouleversé. Les autorités ont débarqué avec l\'avocat de la famille en pleins après-midi. Mon oncle et ma tante avaient tous deux disparu. Ils auraient pris la fuite. L\'avocat m\'a alors appris qu\'ils auraient détourné une parti de mon héritage. Mais le plus mystérieux, c\'est qu\'il n\'ont pas utilisé l\'argent pour leur confort non, ils aurait versé des sommes régulières tous les mois à une institution. Impossible de tracer l\'argent qu\'ils donnaient en liquide. Dans cette histoire ce qui me fît le plus mal n\'est pas que les seules membres de ma famille restante me volaient de l\'argent non, se qui me fît le plus mal c\'est de ne pas savoir pourquoi ils m\'ont volé et surtout pourquoi ils m\'avaient laissé abandonné, sans explication. Je m \'étais alors résolus à vivre sans famille, seul dans cette grande maison de la bourgeoisie londonienne. Après cet incident et son acceptation, bah oui pas le choix il faut bien avancer, je continuais mes études dans la médecine et j\'obtins mon diplôme. Meilleures élèves, j\'eus ma place au sein du meilleur hôpital de Londres. Quelques années après, j\'avais repéré un dépliant sur les médecins sans frontières. Je voulais voir du pays et aider ceux qui étaient vraiment dans le besoin. Et voilà comment je me suis retrouvé à voyager, apprendre des peuples, des gens, leurs histoires, leurs coutumes, leur religions... Je me suis ouvert au monde et j\'ai acquis une grande richesse de savoir que je ne regrette pas. Je passais six mois dans un pays dans le besoins et les six autres mois chez moi à Londres. Je me hissais sur le podium du meilleur médecin de l’hôpital. Il faut bien que vous comprenez, j\'aime ma vie, elle est bien rôder maintenant. Mon avocat gère toujours les affaires de famille et moi je vis comme je l\'entend, toujours une partie de l\'année dans un pays défavoriser, à aider les peuples dans le besoin, constamment à grandir mon savoir sur ces gens. Apprendre d\'autre technique médicinale aussi. Et l\'autre partie de l\'année à vivre chez moi à Londres dans une grande demeure, seul. D\'exercer mon savoir-faire et mes nouvelle technique local des peuplades reculé du monde dans le plus prestigieux hôpital de Londres.

Carnet de Bord :

A compléter régulièrement.