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 Ivy Sheppard (Désinscrit)

 
AuteurMessage
Ivy Sheppard

Ivy Sheppard


Dossier de renseignement
Nationalité: Etats-Unis Etats-Unis
Don/Rune: Pyrokinésie
Allégeance: Inconnue

Ivy Sheppard (Désinscrit) Empty
Mar 11 Nov - 14:55

Ivy Sheppard

Etat Civil

Nom : Sheppard
Prénom : Ivy
Date de naissance: 14 Décembre 1990
Genre : F
Age : 23 ans
Nationalité : Américaine
Domicile : New-York (Etats-Unis)

Capacités spéciales

Appartenance : Magus
Don : Pyrokinésie

Apparence Physique

Ivy arbore une bouille de poupon, des joues rosies et rondelettes qui se rehaussent et se marquent lorsqu'elle sourit. Au sein de ses iris aux nuances de noisette luisant d'éclats de malice, on peut déceler un regard pétillant la joie de vivre et l'insouciance. Son visage est doux, ne présentant pas d'ossature anguleuse ; elle a le front haut et dégagé, encadré par deux mèches brune lui arrivant aux épaules et marquant le début d'un carré plongeant. Les cheveux à l'arrière de son crâne sont souvent soit attachés, soit coiffés en bataille avec du gel.

Mesurant 1m60 pour cinquante-cinq kilos, Ivy n'en impose pas vraiment par sa présence physique - elle-même se considérant comme une véritable planche à pain - elle assume pleinement et fièrement son apparente fragilité. Sa silhouette frêle et maigrichonne en fait une fille au physique banal, mais elle a appris à utiliser son corps comme un véritable moyen d'expression à part entière et ne se trouve donc pas dénuée de charme. Elle n'aurait pas vraiment besoin de parler pour se faire comprendre, enchaînant mimiques et grimaces qui savent en dire long sur ses pensées et émotions. Elle porte également un tatouage sur l'abdomen, représentant un aigle en train de dévorer son foie, souvenir indélébile d'une énième soirée trop arrosée.

Côté sapes, ses goûts oscillent entre le casual tendance et le look citoyens du monde, les deux se complétant parfois à grands renforts d'accessoires pour un résultat... original, dira-t-on. Mais fidèle à elle-même, la jeune New-Yorkaise ne souffre d'aucun complexe ni malaise à ce sujet, le regard des autres n'ayant pas vraiment de prise sur elle.

Personnalité

Caractère : Si son apparence peut laisser penser qu'il s'agit d'une innocente et fragile demoiselle un brin naïve, le fait de l'aborder confirmera l'adage selon lequel l'habit ne fait pas le moine. Délurée, pour ne pas dire dérangée, elle aime la confrontation, aussi bien physique que verbale et se trouve toujours en quête de sensations fortes. S'adonnant à tous les vices, sexe, drogue, alcool et musique à pleins Watt ; ses amis la trouvent plutôt cool et amusante, ses parents la considèrent comme une adolescente immature et irresponsable. Toujours partante pour faire des conneries, elle aime la vie et la croque à pleines dents. Ses passages en garde-à-vue sont fréquents et son casier judiciaire chargé de petits délits.

Impulsive et insolente, elle a horreur que l'on essaie de la canaliser. Elle vit pour faire ce qui lui plaît, et ce depuis toujours. Inutile de préciser qu'elle utilise son don à la moindre occasion pour faire une blague à un pote, impressionner un mec ou plus simplement emmerder le monde. Ivy ignore pourquoi elle possède un tel don, mais se moque de le savoir comme de sa première couche-culotte. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle n'est pas la seule à posséder des capacités bizarres et s'en amuserait presque.

Mais derrière ce caractère de teigne se cache aussi une jeune femme protectrice envers ses amis les plus proches, pour lesquels elle nourrit une jalousie presque maladive à l'égard de celles et ceux qui tenteraient d'interférer dans leurs relations. Outre sa passion pour le feu, Ivy voue un second amour pour le piano, instrument qu'elle pratique depuis sa plus tendre enfance, et la musique en général, même si ses goûts musicaux se sont sérieusement éloignés des grands classiques qu'on lui a inculqués au conservatoire.


Tics et Manies : La jeune Sheppard ne manque pas vraiment de tics et de manies qui font partie intégrante de son caractère et sa personnalité. Elle a la fâcheuse tendance de se ronger les ongles dès qu'elle se met à réfléchir, ou à pianoter avec ses doigts pour s'occuper les mains. Elle use et abuse du mot "putain" dans toutes ses phrases, et possède par ailleurs un champ lexical d'insultes qu'elle ne cesse d'étendre et étaler face au plus grand nombre, au grand dam de son colocataire, ou de son employeur.  Et lorsqu'elle ne dit rien, elle passe généralement son temps à fredonner ou chantonner des chansons, mais pas n'importe lesquelles ; juste les chansons bien entêtantes qui vous poursuivent toute la journée et vous agacent au plus haut point. Mais ces quelques mauvaises habitude ne sont rien en comparaison de la pire de toute : la demoiselle, de part son caractère autrement plus que désinvolte, n'a de cesse de jouer avec son don, au détriment de la discrétion, de la sécurité et du simple bon sens.

Signature musicale : https://www.youtube.com/watch?v=B7-vGvBP7gg

Histoire personnelle

Aussi loin que remonte ma mémoire, j'ai toujours eu le souvenir d'avoir aimé le feu, vraiment aimé ; d'être fascinée par son immatérialité, sa grâce, sa beauté. Etait-ce mon don qui me poussait déjà vers l'objet de sa nature ? Ou bien n'est-ce qu'une coïncidence ? Va savoir toi... Pour ce que j'en ai à foutre... D'ailleurs, mes parents m'avait emmené chez un pédopsy, histoire d'être rassurés. Non, je n'étais pas une pyromane, juste une gamine curieuse selon lui, et que mon attrait pour le feu et les flammes s'éteindrait un jour. S'il pouvait voir ce que je fais aujourd'hui, il changerait sûrement de métier le pauvre homme.

En ce qui me concerne, j'ai toujours vécu et grandi à Brooklyn. J'adore ce quartier de New-York, avec ces rues toutes perpendiculaires et ces immeubles de briques rouges qui se suivent et se ressemblent. J'adore me faire klaxonner dans la rue quand j'ai l'audace de la traverser, me faire insulter dans tout un melting-pot d'injures raciales et misogynes dans toutes les langues de ce monde, me faire aborder par les clodos et leurs vieux caddies piqués à la supérette du coin, ou encore les vendeurs de hot-dogs au coin de la rue. C'est mon petit coin de paradis, où je mène une existence simple de l'autre côté du pont où s'entassent les costards-cravates sensés faire tourner le monde.

Quant à savoir ce que j'y fais, ben quand j'y traîne pas ma carcasse pour faire des conneries, je fais la barmaid dans un petit bar lounge branché, en fin d'après-midi, début de soirée, puis je pédale ensuite jusqu'à mon deuxième job, où je continue de servir des cocktails et des shooters vachement plus costauds aux mecs et aux nanas qui viennent se finir dans une petite boîte qui passe en boucle de la putain de techno complètement abrutissante. Tellement abrutissante que j'y ai pris goût d'ailleurs... Shame on me, dude.

Ouaip. On peut pas dire que j'ai choisi un métier qui fasse tourner le monde, à la place, je fais plutôt tourner la tête.  Mais en même temps, je ne suis pas comme mon petit frère et ses études en droit qui tente par tous les moyens d'en mettre plein la vue à nos parents. C'est un véritable lèche-cul c'ui-là. Moi, j'me suis cassée de l'école dès que je l'ai pu. C'était franchement pas pour moi toutes ces conneries. Ce que je voulais, c'était faire la fête, partager avec les gens, faire de la musique, bref, devenir une putain de petite artiste anonyme dont la seule notoriété se limite aux quatre rues qui encerclent mon quartier. Quand j'étais toute gosse, mes parents m'ont collé dans un conservatoire pour que j'apprennes à jouer d'un instrument. Ils pensaient que ça m'inculquerait la rigueur, la discipline et tout un tas d'autres conneries. C'et comme ça que j'ai appris à jouer du piano. J'adore cet instrument. J'ai économisé pendant près de deux ans de mes salaires pour pouvoir m'en offrir un et connaître le plaisir d'en jouer à nouveau. J'ai par ailleurs découvert le plaisir de faire chier mon coloc' et mes voisins avec ça. Une pierre, deux coups.

Ouais, je vis en coloc' avec mon meilleur pote, James. Un de mes amis d'enfance avec qui je passe la plupart du temps à me friter. Non pas qu'on ne se supporte pas, bien au contraire, mais notre amitié est plutôt orientée chiens et chats. Pas étonnant d'ailleurs, lui aussi c'est un putain de X-men ; sauf que lui, il peut manipuler la glace, histoire de bien m'emmerder. D'ailleurs, j'ignore s'il y a un lien de cause à effet mais ça se voit sur sa tronche. Il est posé, calme, réfléchi, patient et j'en passe... Qu'est-ce qu'il pourrait bien manipuler d'autre que de la glace avec un caractère pareil ? D'ailleurs, c'est pour ça qu'il est devenu pompier. Et mon vœu le plus sincère, c'est qu'il arrête de m'asticoter pour que je le deviennes à mon tour. Soit disant que mon don serait utile. Utile pour lui donner du boulot, c'est certain... 'Fin bref, James et moi nous complétons parfaitement. Je lui envoie deux-trois coups de pieds au cul quand il en a besoin et à l'inverse, il m'aide à relativiser mes accès de colère et trouver des solutions plus diplomatiques. Mais dans l'ensemble, on vit plutôt bien dans notre petit appart'. Je pense que l'espace détente offert par notre toit-terrasse y est pour beaucoup aussi. Il s'agit de notre petit havre de paix, depuis lequel on a une vue magnifique sur la ville, ses rues et l'intimité de nos voisins ; et des pigeons.

Ma mère adorerait y venir, elle pourrait poser son cul dans un transat et commenter la vie de nos voisins. Il faut dire qu'elle nourrit une passion avouée pour le commérage et ne peut pas s'empêcher de venir se mêler des affaires de tout le monde; à commencer par les miennes. Elle a toujours un jugement à faire, une comparaison morale à me sortir. "Et regarde ton frère ; prends un peu exemple sur James ; moi, à ton âge bla-bla-bla..." Ce que je sais, c'est que le jour où j'aurai son âge, j'aurais pas le sentiment d'être passée à côté de ma vie et de ma jeunesse pour quelques principes de vie et de valeurs dictés par le reste de la société et sa propre pression parentale. Au moins mon père manifeste-t-il son mécontentement et sa déception d'une manière franche vis-à-vis de ma vie et mon avenir. Je suis restée une merdeuse immature et irresponsable ; et je le vis plutôt pas mal. Comme disait l'autre : si vivre est obligatoire, grandir est un choix. Mais malgré qu'ils ont une sacrée tendance à me casser les couilles, ils restent mes parents, ma famille et mon sang, et je les aime plus que tout au monde. C'est juste que je ne le leur montre pas.

Et puis ça ne leur est pas vraiment spécifique. Je n'ai pas pour habitude de montrer mes véritables sentiments, à qui que ce soit. J'ai toujours trouvé plus simple de les dissimuler derrière un masque moulé dans l’irascibilité, la dérision et l'insouciance. James considère que c'est un gâchis stupide, personnellement, je trouve que c'est plutôt de l'auto-préservation. Et l'un dans l'autre, ça n'est pas incompatible. On me reproche constamment de n'avoir aucune vision d'avenir, aucune ambition ni aucun projet de vie. Mais par rapport à quoi ? La mise en conformité qui voudrait qu'à quarante ans, j'ai 2,5 enfants, un labrador, une maison dans le Queen's et un mari qui me trompe avec sa secrétaire tous les jeudis soir ? Par rapport aux projets et aux espérances que nourrissaient mes parents à propos de moi ? Ou peut être par rapport à ce que James s'imagine et voudrait pour moi, pour nous d'ailleurs : découvrir pourquoi nous possédons des capacités de X-men. Qu'est-ce qu'on en a à foutre sérieusement ? Est-ce que ça a une véritable importance ? Pour lui oui, visiblement. A mes yeux, ça revient à me demander si Dieu existe. Peut-être, peut-être pas ; je m'en moque, tout simplement. La seule chose qui m'inquiète à propos de mon don, c'est qu'il ne provoque un nouveau désastre comme lorsqu'il s'est révélé à moi.

Je m'en souviendrai tout ma vie de ce putain de jour-là. Une première fois comme les autres par ailleurs, gravée dans mon insouciante caboche jusqu'à ma mort. Le 23 Mai 2002, la fête d'anniversaire de James pour ses douze ans. Tout était normal, les amis, les cadeaux, le gâteau d'anniversaire. Le gâteau d'anniversaire et ses douze bougies. Comme à chaque fois que je me retrouvais face à une flamme, je ne pouvais m'empêcher d'avoir le regard braqué dessus, perdue dans la contemplation de cette petite flamme vacillante sous les courants d'air provoqués par l'agitation ambiante. James souffla les bougies en une seule fois et comme à chaque fois, je trouvais triste que le spectacle s'arrête déjà, que la beauté disparaisse ainsi. Alors une bougie se ralluma. "T'en as oublié une !" m'étais-je exclamée en pointant l'oubliée de mon doigt. "Ton vœu va pas être exaucé si tu fais pas bien les choses." Il souffla la bougie à nouveau, mais une autre se ralluma. Des bougies magiques. J'adorais ces bougies qui se rallumaient toutes seules après quelques secondes de combustion. Mon ami la souffla à nouveau, puis sa mère l'enleva du gâteau pour plonger la mèche dans un verre d'eau, avant de retirer les autres, une à une et le faire connaître le même sort humide, puis commença à couper le gâteau.

Pour ma part, j'avais toujours l'attention rivée sur les bougies éteintes. Pourquoi les gens n'aimaient pas contempler le feu comme je le faisais ? En avait-il peur ? Ne voyaient-ils toute la beauté que recelait une petite flammèche dansante ? Je prenais une des bougies entre mes doigts, observant la mèche mouillée avec une pointe de tristesse. Et la flamme réapparut. La mère de James me demanda d'arrêter de jouer avec les bougies en déposant devant moi une part de gâteau dans une assiette. Je hochai la tête puis soufflai sur la flamme... Je n'ai jamais réussi à l'éteindre. A la place, la flammèche se mua en une fine langue de feu qui suivit mon souffle et alla lécher un tas de serviettes en papier qui ne mirent guère de temps à s'embraser à leur tour. Dans la panique, j'avais lâché la bougie alors que la mère de James renversait le contenu d'une bouteille de soda sur les serviettes enflammées avec précipitation. Sauf que les flammes ne s'éteignirent jamais, défiant tout autant les lois de la chimie et de la logique. En quelques minutes, nous nous étions tous réunis dans la rue, à contempler entre cris et larmes le salon de la maison de James brûler. Les voisins étaient venus, avaient appelé les pompiers. Moi qui avais toujours souhaité que jamais un feu ne s'éteigne et perdure des heures et des heures, voilà que je voulais ardemment que celui-ci disparaisse.

"Mais qu'est-ce que tu as fait !?" m'avait hurlé la mère de James en pleine panique, le visage rougi et larmoyant. "Mais j'ai rien fait, j'vous jure !!" avais-je plaidé dans le même état émotionnel. Tout ce que je voulais, c'était que ça s'arrête. Et ça s'est arrêté. Les flammes qui léchaient la façade en lambris de la maison par la baie vitrée se résorbèrent presque aussi soudainement qu'elles ne s'étaient répandues, et seule une immense colonne de fumée noire et âcre persista durant de longues minutes. Minutes que je n'avais jamais vues, car j'avais sombré dans l'inconscience quelques instants après que le feu se soit résorbé.

Les médecins ont prétendu à mes parents que ma perte de connaissance était probablement dû à une inhalation trop importante de fumée. Les pompiers ont déclaré à mes parents qu'une bougie mal éteinte avait été à l'origine de l'incendie. Mme Olliver, la mère de James, a raconté à mes parents que j'avais mis le feu à leur maison, et que je l'avais éteint. Le psychologue de Mme Olliver lui a diagnostiqué un choc post-traumatique, et Mme Olliver a prescrit à James une interdiction formelle de me fréquenter, qui n'a pas tenue très longtemps puisque nous étions dans la même classe.

Bien évidemment, toute cette histoire a fini par se tasser avec le temps, mais une chose a toujours persisté. Quand je croisais le regard de la mère de James, je parvenais toujours à y voir son jugement à mon égard : "monstre." Et même la révélation des pouvoirs de son propre fils, ayant fait geler la piscine familiale en plein mois d'Août de la même année, n'a pas réussi à assouplir son jugement à mon égard. La seule différence désormais, c'est qu'elle sait que médecins, pompiers, flics et psychologue avaient tort et qu'elle avait raison ; mais que le monde raisonnable la considérerait comme totalement folle si elle persistait dans cette voie là. Ce n'est que quelques années plus tard que j'ai présenté mes excuses les plus sincères à Mme Olliver, lorsque celle-ci daigna bien considérer que j'existais à nouveau ; lui fournissant des explications quant à ma nature et ce que j'étais capable de faire. Elle m'a juste répondu qu'heureusement pour moi, son fils était capable du même genre de monstruosités et que pour une fois, je faisais preuve d'un peu de maturité. Elle m'a dit qu'elle comprenait, mais qu'elle n'était pas prête de me pardonner pour autant, comme si j'avais volontairement voulu foutre le feu à sa baraque... Je pense que ça a été la dernière phrase de plus de trois mots que nous ayons échangée depuis.

Je pense par ailleurs que c'est depuis ce jour que je ressens le tel besoin d'avoir le contrôle sur mon existence, à l'image de celui que j'ai sur mon don, et que je refuse à quiconque de m'imposer un quelconque choix ni une quelconque contrainte de vie. Qu'importe ce qu'en pense les autres car ce qui importe vraiment pour moi, c'est de n'avoir un comportement destructeur qu'envers moi-même...


Hors Jeu

Code du règlement : ok
Pays : France
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Autre chose ? : Nope !


Dernière édition par Ivy Sheppard le Mer 19 Nov - 18:42, édité 1 fois
 
 
Rebecca Frost
Modératrice
Rebecca Frost


Dossier de renseignement
Nationalité: France France
Don/Rune: Illusions sensorielles
Allégeance: Inconnue

Ivy Sheppard (Désinscrit) Empty
Mer 12 Nov - 21:12

Bouh ! Ici la modération !! Et un grand bienvenue à toi chez nous, ça fait toujours plaisir de voir un nouvel arrivant ! En espérant que tu te plaira parmi nous ! Smile

Ta Fiche de renseignement a été transmise au Conseil de Gestion du jeu, sur notre Environnement Numérique de Travail. Elle y sera analysée, et nous reviendrons vers toi rapidement pour te donner notre avis.

Comme indiqué dans le Règlement, chacun doit s'efforcer de préserver le secret de son Allégeance. Il te faut donc nous transmettre un Message Privé pour nous informer de la direction vers laquelle tu souhaites te tourner. Cet élément sera utilisé pour l'analyse de ta Fiche de renseignement. Tu peux aussi nous indiquer que ton personnage se décidera en cours de jeu, au gré des opportunités qui lui seront tendues.
 
 
Rebecca Frost
Modératrice
Rebecca Frost


Dossier de renseignement
Nationalité: France France
Don/Rune: Illusions sensorielles
Allégeance: Inconnue

Ivy Sheppard (Désinscrit) Empty
Mer 19 Nov - 15:40

Bouh !
It's feedback time ! Wink

Alors alors, le Conseil de Gestion a bien analysé ta fiche, ton style d'écriture est vraiment très appréciable, on arrive vraiment bien saisir le caractère d'Ivy à travers celui-ci ! La corrélation entre son Don & son caractère est parfaitement bien illustrée, de même que la découverte et l'évolution de son Don, un bon parallélisme avec son colocataire James.
La personnalité d'Ivy est extrêmement intéressante et pourra donner de belles scènes et évolutions dans l'intrigue.

Voilà voilà ! Tu devrais recevoir des nouvelles sous peu concernant la suite de ta validation !
A très bientôt ! Smile
 
 
Arthur de Vevey
Admin & Directeur de la Fondation
Arthur de Vevey


Dossier de renseignement
Nationalité: Suisse Suisse
Don/Rune: Chronokinésie
Allégeance: Institut de Paris

Ivy Sheppard (Désinscrit) Empty
Dim 23 Nov - 20:34

Bonjour Ivy,

Ta fiche a été validée mais il te reste quelques petites formalités à accomplir avant de pouvoir démarrer dans le jeu.

1/ Le code de ta signature musicale a été généré, merci de le copier-coller dans l'onglet "Signature" de ton profil.
Code:
[center]
<embed width="300" height="25" scale="exactfit" quality="high" wmode="transparent" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true" allowscriptaccess="always" src="https://www.youtube.com/v/B7-vGvBP7gg?version=2&hl=fr_FR&rel=0" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer">
[sub][i]Smells Like Teen Spirit - David Garrett
[/i][/sub][/center]

2/ Ton personnage doit avoir un domicile. Tu dois nous en soumettre la création, en respectant les différentes spécifications, via le Formulaire de Demande de Création de Lieu.

3/ Ensuite, l'ensemble des informations saisies dans ta fiche ont été transcrites dans ton Dossier de renseignement, disponible dans ton onglet "Profil" et visible par les autres membres. Merci de vérifier s'il n'y a pas d'erreur.

Une fois que ces trois formalités auront été accomplies, signale-le-nous ici. Nous te donnerons alors les autorisations nécessaires pour débuter l'aventure sur Novus.
 
 
Ivy Sheppard

Ivy Sheppard


Dossier de renseignement
Nationalité: Etats-Unis Etats-Unis
Don/Rune: Pyrokinésie
Allégeance: Inconnue

Ivy Sheppard (Désinscrit) Empty
Lun 24 Nov - 0:23

Tout a été fait et vérifié. Wink
 
 
Arthur de Vevey
Admin & Directeur de la Fondation
Arthur de Vevey


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Nationalité: Suisse Suisse
Don/Rune: Chronokinésie
Allégeance: Institut de Paris

Ivy Sheppard (Désinscrit) Empty
Mar 25 Nov - 8:54

Très bien, c'est bon de notre côté.

Bienvenue sur Novus. Ta fiche va être archivée, mais tu peux déjà faire ton entrée dans le jeu dans ta résidence.
 
 
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